L’avion d’Air Algérie s'écrase en territoire malien

Un avion affrété par la compagnie aérienne Air Algérie auprès d'une compagnie espagnole disparu 
ce matin des radars s’est écrasé alors qu’il survolait le ciel malien
    6Algériens , 50 Français, 1 Malien, 1 Belge, 2 Luxembourgeois, 5 Canadiens, 1 Camerounais, 4 Allemands, 1 Nigérian, 8 Libanais, 1 Égyptien, 1 Ukrainien, 1 Suisse, 6 membres d'équipage espagnoles, 24 Burkinabés étaient aussi à bord du MD83

Selon les dernières informations que nous disposons, l’appareil s'est écrasé au Mali. Le crash serait dû aux 
mauvaises conditions climatiques

Le DC 9 dont l’atterrissage était attendu à 6h du matin, ne donne plus de nouvelles. L’appareil affrété par Air Algérie pour assurer le vol Ouagadougou-Alger ne répondait pas. La tour de contrôle a perdu tout contact avec l’équipage, depuis que l’appareil survolait à 31 milles au-dessus de Gao, zone de conflit au Mali. L’avion transportait à bord 110 passagers en majorité des étrangers.

L’on apprend par ailleurs que deux commandant der bord et un chef de cabine figuraient parmi les passagers, ils revenaient d’une mission à Ouagadougou. Quant au personnel navigant, tous des étrangers appartenant à la compagnie espagnole Swiftair à qui appartient l’appareil.  

Celle-ci, Swiftair, vient de confirmer la disparition à travers un communiqué. « Swiftair annonce qu’un avion MD83 de sa compagnie opéré par Air Algérie a décollé à 01H17 du Burkina Faso à destination d’Alger avec comme heure d’arrivée prévue 5h10 et n’est pas parvenu à destination. » Dans cet avion, confirme Swiftair, voyageaient 110 passagers et 6 membres de l’équipage, parmi lesquels deux pilotes et quatre stewards

Pour rappel, le dernier contact a été enregistré à 3h du matin de ce jeudi. Selon les premiers éléments d’information dont nous disposons, le ministre des Transports et le Pdg de Air Algérie se sont rendus à l’aéroport international d’Alger. Une cellule de crise a été installée.

Pour rappel, le pdg d’Air Algérie avait déjà attiré l’attention sur le danger que représente cette région sur la sécurité de l’aviation civile. M. Boultif avait souligné que le surarmement en Libye et la disparition d'importants stocks d'armes, constituent une « menace réelle », ajoutant que les aéroports étaient « toujours une cible en matière d’actes d’interventions illicites ».

Source: leconews
Faouzia Ababsa

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